top of page

Il est vrai qu'il n'est jamais trop tard pour recommencer?

Je suis un exemple d'une reconversion professionnelle, à 50 ans.

Plus j'accompagne les gens à sauter le pas et se diriger vers une nouvelle voie.


Une #reconversion professionnelle à 50 ans, est-ce possible ?

Vu que la durée de la #vie active s'allonge, nous avons intérêt à prendre la bonne voie qui va nous mener vers la retraite, car tout simplement elle est longue.


Il n'existe aucune limite d'âge à la reconversion professionnelle.

Qu'elle soit subie ou choisie, la reconversion professionnelle peut être effectuée à n'importe quel moment.

50 ans c'est juste un exemple, on se dit on a encore de logues années devant nous et les autres diront on est trop vieux pour recommencer. Et c'est là qu'on est #privilégié ou pas, voir des choses du côté #négatif ou se dire et pourquoi pas moi.

Je parle de notre leadership de notre vie, notre maîtrise de soi, notre #optimisme et passion.

Ainsi, à un âge où beaucoup commencent à réfléchir à leur #retraite future, d’autres préfèrent se lancer de nouveaux défis professionnels telle qu’une reconversion professionnelle et ils ont tout à fait raison. 


Pourquoi changer de métier ?

Même si nous avons tendance à nommer les cinquantenaires de seniors et à penser qu'il est difficile de se reconvertir après 45 ans, être un quinqua de nos jours n’a plus rien à voir avec nos grands-parents à leur époque.



Alors que pour nos parents, penser se reconvertir était inimaginable car quand on avait un métier, cela se normalise désormais.


Changer à un certain âge n’est pas chose facile. Les recruteurs sont peu enclins à vous embaucher et on imagine qu’à cet âge, on n’a pas le droit à l’erreur, que c’est plus dur, qu’on ne s’en sent pas capable, qu’on est trop vieux pour ce genre de folie…


Ces craintes freinent bon nombre parmi nous ou les poussent à jeter l’éponge.

Pourtant, la vie nous offre encore de belles opportunités de réorientation professionnelle pour plusieurs raisons.


maturité

À 20 ans, on se jette dans notre vie professionnelle en se disant qu'on aura le temps de corriger la trajectoire s'il le faut et on peut changer plus souvent d’emploi et on avance à tâtons pour trouver le bon job.

Mais 30 ans plus tard , on dispose d'une certaine maturité qui nous permet de prendre des décisions plus réfléchies. Nous savons quelles contraintes nous sommes prêts à accepter pour notre vie professionnelle, et quels sacrifices nous ne sommes plus disposés à faire.


Nous avons de l'expérience

Vous avez déjà une belle carrière derrière vous et n’importe quelle entreprise a besoin de vos services. Valoriser cette expérience dans un autre domaine peut être très bénéfique. Bien sûr, il faut trouver un employeur qui accepte de recruter un senior qui ne passera donc pas les 20 prochaines années à son service mais nous vivons et travaillons dans le monde d’aujourd’hui qui est tout sauf stable et linéaire.


De plus, vous devrez encore travailler une bonne dizaine d’années et se donner à fond dans un nouveau projet professionnel est donc largement compréhensible. Ce type de reconversion entre de plus en plus dans les mœurs et pour les employeurs également.


Nous avons développé des compétences

Durant toutes ces années actives, la personne en a développé des compétences (hard et soft skills) que ce soit dans son domaine ou des domaines transversaux. Savez-vous combien de temps il faudrait à un employeur pour former un junior à toutes celles-ci ?

Une motivation sans faille

Les candidats à la reconversion à partir de 50 ans font preuve d’une motivation à toute épreuve et c’est bien normal. Ils savent qu’ils vont être en concurrence avec des « petits jeunes » fraîchement diplômés bien souvent et aux dents longues. Il est donc logique de se donner à fond dans ce nouveau projet.

La sécurité

Un actif de 50 ans court moins après l’argent. En général, il n’élève plus de jeunes enfants et a déjà une situation professionnelle stable. Il peut déjà être pleinement propriétaire de son logement et les frais inhérents à une reconversion seront donc plus facilement absorbés. L'occasion est donc sans doute idéale de penser enfin à votre épanouissement personnel. Beaucoup de quinquagénaires décident ainsi de changer totalement de vie professionnelle en se formant pour exercer un métier passion, tandis que d'autres décident de créer leur entreprise. D’ailleurs, une enquête de l’Express révèle que plus de 50 000 anciens employeurs de plus de 50 ans montent leur propre boîte chaque année. 


Comment choisir sa nouvelle carrière ?

Envisager une reconversion professionnelle à 50 ans ne se prend pas à la légère. C’est un processus long et complexe qu’il faut convenablement appréhender. 

  • Faire son introspection : seul ou accompagné (coaching, bilan de compétences, bilan professionnel...), faites le point sur vos aptitudes et compétences transférables. 

  • Analyser ses préférences : faites le point sur votre parcours en listant ce que vous avez le plus apprécié pour en déduire ce que vous recherchez en priorité dans votre nouvelle vie pro.

  • Lister les pistes possibles : après ces premières études, attelez-vous à lister quelques pistes que vous pourriez suivre et qui vous permettra de trouver le métier de vos rêves.

  • Tester le métier : il y a souvent un fossé entre rêve et réalité. Vérifiez si votre choix est le bon en testant, en vous informant…

  • Envisager la formation : un changement de métier implique souvent la nécessité de gagner de nouvelles compétences et pour cela, la formation reste la meilleure solution.


Financer sa reconversion professionnelle à 50 ans

Si vous avez pour ambition de changer de métier, il est fort à parier que vous passiez par la case formation et cette étape peut coûter cher en temps et en argent.



  • Le compte personnel de formation (CPF) 

  • Le CPF de transition professionnelle (ancien CIF)

  • Le Plan de Développement des Compétences ou PDC

  • L’aide individuelle à la formation (AIF) 

  • L’aide de Retour à l’Emploi Formation ou AREF

  • ...

Quels sont les risques de changer de métier 45 ans passés ?

Quel que soit l’âge auquel on décide de se lancer, des risques existent et il serait utopique de penser le contraire. La cinquantaine ne fait pas exception.

Si au début d’une carrière professionnelle nous nous lançons sans trop de craintes vers de nouveaux horizons professionnels, les choses évoluent avec l’âge.

La sagesse (ou la peur) s’installe et nous force à analyser plus en détail la situation et évaluer les risques en cas d’échec. 


Mais quels sont concrètement ces risques ?

  • Ne pas réussir à trouver un emploi dans la nouvelle voie choisie et ne pas réussir à reprendre l’emploi précédent

  • Une perte de rémunération trop importante qui impact durement votre vie privée

  • Une perte de confiance en soi en cas d’échec du projet

  • Le risque que ce choix impacte le montant de votre pension de retraite

Cette peur de l’échec est bien naturelle mais rassurez-vous, ces risques ne sont pas propres aux cinquantenaires mais à tout le monde.


En même il peut se passer le contraire ou tout se passe bien et rien de tout ca ne vous arrive.

Et pourquoi pas moi?




bottom of page